La main morte a frappé
Dehors le vent chuchote
A la rumeur le crime
S’exhale des doigts gourds
Mais la porte transie
Cachant les yeux glacés
Sait que l’assassiné
Gît en haut de la tour
Dans le rai de lumière
Ouvrant l’éternité
Les regards entendus
Jouissent sur le palier
Il est temps d’aller voir
Celle qui meurt ce soir
Les caveaux en ivoire
Vont t’offrir la mémoire
Pour que germe le sens
Des sourires insidieux
Que tu m’avais promis,
Salope ! En adieux