Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
L'envie la soumission, la guerre
Qu'importe l'endroit où tu naîtras
Les corps ici sont éphémères
Pour liberté, il n'est de loi
J'aurais tant aimé que l'amour
Dicte aux hommes un peu plus de paix
Que la vie d'un enfant ce jour
Ne puisse au combat être fait
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Que ceux qui croient en la prière
Agissent pour unir l'humain
Et non pour vouer à l'enfer
Ceux qui n'ont pas le même lien
J'ai traversé tant de ces mondes
Où chacun savait ce qu'il faut
Mais tous se jettent dans la ronde
Oubliant qu'elle se joue des mots
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Et le soir tombe un peu plus sombre
Chaque nuit les esprits s'enfuient
Aux géants payés par le nombre
Confient leurs droits à l'interdit
Tant que les autoroutes amères
Ne font pleuvoir que les absents
La rébellion n'est que chimère
Et l'honneur se perd en jouissant
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Combien de morts seront tombés
Avant que meure l'autorité
Sommes-nous à ce point clivés
Que nos yeux fuient la vérité
Pour quelques âmes atrophiées
Éperdues de reconnaissance
Sommes nous prêts à oublier
Ce qui de l'humain est l'essence ?
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
L'envie la soumission, la guerre
Qu'importe l'endroit où tu naîtras
Les corps ici sont éphémères
Pour liberté, il n'est de loi
J'aurais tant aimé que l'amour
Dicte aux hommes un peu plus de paix
Que la vie d'un enfant ce jour
Ne puisse au combat être fait
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Que ceux qui croient en la prière
Agissent pour unir l'humain
Et non pour vouer à l'enfer
Ceux qui n'ont pas le même lien
J'ai traversé tant de ces mondes
Où chacun savait ce qu'il faut
Mais tous se jettent dans la ronde
Oubliant qu'elle se joue des mots
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Et le soir tombe un peu plus sombre
Chaque nuit les esprits s'enfuient
Aux géants payés par le nombre
Confient leurs droits à l'interdit
Tant que les autoroutes amères
Ne font pleuvoir que les absents
La rébellion n'est que chimère
Et l'honneur se perd en jouissant
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants
Combien de morts seront tombés
Avant que meure l'autorité
Sommes-nous à ce point clivés
Que nos yeux fuient la vérité
Pour quelques âmes atrophiées
Éperdues de reconnaissance
Sommes nous prêts à oublier
Ce qui de l'humain est l'essence ?
Si j'avais su ce qu'était l'onde
Alors j'aurais pris les devants
Tant de sons se perdent en ce monde
Et pourtant nos cœurs sont vivants